Pigalle La Tentation Etait Telle Lyrics
La Tentation Etait Telle by Pigalle
Oui la tentation était telle
Que la vie semblait aussi fade sans elle
J'attendais une étincelle
Un appel, que faire
Je ne connaissais d'elle qu'une silhouette
Si frêle
Une imprenable citadelle
Si belle
Au bureau dans les couloirs, des yeux au pieds
Bonjour bonsoir
J'aurais rêvé hiberner dans son tiroir
Comme un lézard
Chez moi dans ma tête tout seul
J'entendais son rire tous les soirs
Son odeur volait, me hanter au plumard
Bizarre, là devant la machine à café
Il arrivait parfois qu'on soit tout à coté
Mais si je la voyais de loin
Je rebroussais chemin
Oui la tentation était telle
Que la vie semblait aussi fade sans elle
J'attendais une étincelle
Un appel, cette tentation était telle
Qu'à tout, à tout, j'étais prêt
Mais comment faire quand comme moi
On est niais
Tous les jours à gamberger de la cave au grenier
Chercher la phrase clé qui va ouvrir la vanne à des mots énamourés
Égorger ma timidité jusqu'à ce qu'elle soit exsangue, ou me rende ma langue
La tentation était telle que je la maudissais
Mais la tentation, une question, la tentation était-elle assez gigantesque
Pour arriver enfin à lui dire que je l'aimais
Oui, la tentation était telle que la vie semblait aussi fade sans elle
J'attendais une étincelle
Un appel, Un matin elle s'est penché vers moi
Elle m'a dit mais pour quelles raisons, on n'se parle pas
Peut-être ne m'aimes-tu pas
Pourquoi, pourquoi elle a dit ça
Du coup, j'ai senti le long de mon corps un émoi
Mais pas celui prévu depuis des mois
Plutôt un immense désarroi
Elle avait cassé le rêve, en fait je ne l'aimais pas
Que la vie semblait aussi fade sans elle
J'attendais une étincelle
Un appel, que faire
Je ne connaissais d'elle qu'une silhouette
Si frêle
Une imprenable citadelle
Si belle
Au bureau dans les couloirs, des yeux au pieds
Bonjour bonsoir
J'aurais rêvé hiberner dans son tiroir
Comme un lézard
Chez moi dans ma tête tout seul
J'entendais son rire tous les soirs
Son odeur volait, me hanter au plumard
Bizarre, là devant la machine à café
Il arrivait parfois qu'on soit tout à coté
Mais si je la voyais de loin
Je rebroussais chemin
Oui la tentation était telle
Que la vie semblait aussi fade sans elle
J'attendais une étincelle
Un appel, cette tentation était telle
Qu'à tout, à tout, j'étais prêt
Mais comment faire quand comme moi
On est niais
Tous les jours à gamberger de la cave au grenier
Chercher la phrase clé qui va ouvrir la vanne à des mots énamourés
Égorger ma timidité jusqu'à ce qu'elle soit exsangue, ou me rende ma langue
La tentation était telle que je la maudissais
Mais la tentation, une question, la tentation était-elle assez gigantesque
Pour arriver enfin à lui dire que je l'aimais
Oui, la tentation était telle que la vie semblait aussi fade sans elle
J'attendais une étincelle
Un appel, Un matin elle s'est penché vers moi
Elle m'a dit mais pour quelles raisons, on n'se parle pas
Peut-être ne m'aimes-tu pas
Pourquoi, pourquoi elle a dit ça
Du coup, j'ai senti le long de mon corps un émoi
Mais pas celui prévu depuis des mois
Plutôt un immense désarroi
Elle avait cassé le rêve, en fait je ne l'aimais pas